Le web dit que le titre de cette chanson signifie littéralement « celui qui ouvre la voie ». Il s’agit du nom souvent donné à Eleggua qui est le principal Orisha (divinité) de la religion du Santería . Voici une transcription modifiée de la version du duo Ibeyi.
Chant d’un laboureur qui a de l’empathie pour ses deux boeufs qui font le dur travail de la terre. Il leur chante une berceuse! Merci aux meufs de Bruxelles qui m’ont fait découvrir la super version de Blato Zlato que j’ai transcrit pour vous!
Ce chant traditionnel est originaire de Thrace, une région de la Grèce du nord, frontalière de la Bulgarie et de la Turquie. Voici la version polyphonique portée par Marina Sati et le groupe Fonès. Margoudi et Alexandris choisissent de continuer à se voir, malgré les mœurs conservatrices d’un village qui empêche de développer des liens amoureux hors mariage. Mais on s’est permis de le modifier un peu (merci M), parce que l’histoire d’origine parle d’un couple hétérosexuel. Maintenant ça parle d’un couple formé d’un personnage féminin et d’un autre, non binaire. Comme ça, on vous partage la joie de l’existence en grec, du genre neutre, en plus du féminin et du masculin. « To » margoudi, c’est déjà neutre. Il a suffi de féminiser « Alexandris » et le tour était joué ! Ce qui a été modifié est souligné dans le pdf « paroles ».
À la demande des chères chanteuses du Livradois-Forez et fait un peu à l’arrache mais avec beaucoup de tendresse voici le premier couplet à 3 voix… car très peu de différences avec le deuxième.
Arrangement fait pour un formidable trio de la Chaise Dieu et qu’on met à disposition des gens qui aimeraient le tenter en choeur! Sans permission de Clara Ysé…